SAPAD (Service d’Assistance Pédagogique à Domicile)
Lorsque, pour des raisons de santé, un élève ne peut suivre temporairement une scolarité en établissement, des alternatives à la scolarisation peuvent être mise en place après évaluation et avis du médecin de l’Éducation nationale.
Le SAPAD (Service d’Assistance Pédagogique à Domicile) s’inscrit dans la complémentarité du service public et garantit le droit à l’éducation à tout élève malade ou accidenté, dont la scolarité est interrompue momentanément, ou perturbée durablement, pour une période supérieure à deux semaines (certificat médical à l’appui)
Les familles doivent faire directement leur demande auprès du SAPAD.
Vous pouvez contacter Mme FAM au 01 60 91 89 36 (pour nos lecteurs qui vivent dans l’Arpajonnais) qui instruira votre dossier en collaboration avec le Dr Benoît de l’Inspection Académique de Versailles.
Selon l’âge, et le niveau de scolarité de votre enfant et la disponibilité des professeurs du SAPAD, on vous met en relation avec un enseignant qui viendra à votre domicile accompagner votre enfant dans sa scolarité.
« Par expérience en ce début d’année scolaire, mon enfant a dû manquer l’école pour des raisons de santé sur une période de 3 semaines. J’ai donc contacté le SAPAD dès son premier jour d’incapacité de scolarisation afin que Mme FAM mette en place le dossier. J’ai fourni le certificat médical d’incapacité d’aller à l’école au DR Benoît à l’adresse mail qu’elle m’avait communiqué. Le lendemain un professeur (ancienne directrice d’école élémentaire) m’a contacté pour convenir des horaires de passage à notre domicile. (Le matin les professeurs sont avec les enfants en milieu hospitalier puis l’après-midi avec les enfants à domicile). Dès le surlendemain mon enfant avait un professeur qui était en relation direct avec son professeur d’école afin de suivre ce qui se faisait en classe au jour le jour. Les deux professeurs échangeaient par mail sur les contenus réciproque de leur travail. »
« Je tenais par cet article, mettre à l’honneur ce service de l’éducation National et bien sûr ces professeurs du département trop peu nombreux (4 seulement) qui accompagnent les élèves, nos enfants tant dans leur scolarité que sur la relation humaine. Merci.»
Mme de Ambroggi Aurore